La Confédération Nationale des Producteurs Agricoles du Congo est une association sans but lucratif, apolitique et non confessionnelle. La CONAPAC a comme vision de contribuer à l’avènement d’un « monde paysan solidaire, professionnel et prospère ». Sa mission est de représenter et défendre tant au niveau national qu’international, les intérêts des producteurs agricoles congolais pour leur permettre de participer activement à la vie de la société et de s’y épanouir.

Le Centre de Production de Semences est une association sans but lucratif congolaise. Elle est créée depuis 2005 par le Centre Congolais de Culture, de Formation et de Développement (CECFOR).

C’est en Octobre 2015 qu’au cours de l’Atelier de tous les coaches congolais en appui méthodologique pour l’accompagnement des centres de formation en GAR (Gestion Axée sur le Résultat) et en Leadership à Kisangani que l’idée est née pour créer un réseau des coaches. La stratégie opérationnelle a été donc matérialisée le 08 Janvier 2016 en montant le Réseau de Coaches Congolais en Approche par les Résultats Rapides et en Gestion Axée les Résultats

L’Association de Défense des Droits des Patients est née du constat selon lequel des milliers des personnes décèdent faute d’accès aux soins de santé de qualité, suite aux complications induites par des médicaments (médicaments périmés, falsifiés, mauvaise qualité, contrefaits, détériorés, volés ou vendus sans autorisation, médicaments aux principes actifs inadaptés, surdosage, sous dosage, excipients toxiques, etc.). Elle est engagée à œuvrer pour une véritable prise en compte du droit à la santé en République Démocratique du Congo avec une approche axée sur les patients.

Le Syndicat National des Médecins est une organisation de nature syndicale créée par les médecins de la RDC le 07 octobre 1990. Elle vise notamment l’organisation et la défense de ses membres.

L’Association des Artistes et Artisans de Binza est une structure née d’un noyau d’artistes du Site Météo dans la commune de Ngaliema, un petit groupe d’artistes ayant pris conscience de la nécessité de s’organiser, après un constat des limites que présentaient l’individualité dans la production ou la fabrication et la vente de leurs œuvres ou produits d’art et artisanal.

La Fondation NDOMBA est une Association sans but lucratif de droit congolais née de la compassion et de l’amour qu’ont ses membres à l’égard des enfants orphelins, des enfants soi-disant de la rue et des femmes victimes de la violence et maltraitance. Elle a pour objet le soutien et l’appui à des catégories défavorisées, notamment les enfants abandonnés et les femmes victimes de la violence.

FUTURA Envir 4Ward est une association évoluant dans le domaine de l’environnement. Elle poursuit les objectifs ci-après ;

• Eduquer à l’environnement et au développement durable ;
• Mettre en œuvre la Gestion intégrée des ressources en Eau ;
• Surveiller et défendre l’environnement (monitoring des cours d’eau et des sols et milieu ambiant) ;
• Offrir une gestion efficace de la production des biens et services dans le domaine de l’environnement et assainissement ; etc. 

La Confédération Démocratique du Travail est une organisation syndicale interprofessionnelle, créée le 26 avril 1990 à Kinshasa par l’assemblée constituante des cadres, travailleurs(euses)  manuel(le)s, ouvrier(e)s agricoles, paysan(ne)s et artisan(ne)s regroupé(e)s dans les différentes fédérations en vue d’étudier, de défendre et de promouvoir leurs intérêts professionnels pour leur progrès économique et social. La CDT a pour objet l’étude, la défense et le développement des intérêts matériels, moraux et socioprofessionnels ainsi que le progrès social et économique de ses membres.

La CDS est un institut lié à l’Université de Kinshasa qui, outre sa vocation de centre de recherche fondamentale, s’inscrit dans la recherche-action en vue de renforcer les capacités et d’induire un développement durable. Un de ses objectifs, en lien avec le développement, est d’étudier les problèmes et faits sociaux des communautés locales et de proposer des pistes de solutions.

La POMUCO regroupe cinq organisations qui sont engagées à travers la RDC dans la promotion des mutuelles qui permettent aux démunis d’accéder à des soins de santé de qualité à moindre coût.

La CSC du Congo a pour objectif la promotion du dialogue social et les droits du travail des travailleur·euses précaires et de l’économie informelle au Congo. C’est l'une des confédérations interprofessionnelles les plus puissantes du pays, ce qui lui permet d’agir comme interlocuteur des pouvoirs publics et autres instances de décision pour défendre les revendications économiques et sociales de ses membres. Ses actions vont de la dénonciation de la violation des droits syndicaux à la formation sur les pratiques syndicales, en passant par le plaidoyer politique. Elle fait partie du MOCC.

La FMP est une coupole de 5 organisations regroupant près de 39.000 membres. Sa mission est la défense et la promotion des droits et intérêts socioéconomiques des travailleurs et travailleuses ruraux et du secteur informel. Elle développe dans tout le pays des activités de formation, de sensibilisation et d’information, ainsi que d’appui aux initiatives socio-économiques des groupes de base. La FMP travaille à l’accroissement des revenus de plus de 150 groupements (plus de 1.850 individus et ménages) par la formation en agro-élevage et en apiculture, ainsi que par l’appui technique et financier. Elle aide aussi ses membres à améliorer leurs revenus par l’octroi et l’encadrement de microcrédits sur fonds propres.

Le COTRAF est un syndicat qui compte près de 10.000 membres issus des secteurs formel et informel, notamment des théiculteurs et des travailleurs des usines de thé. Il regroupe les syndicats des secteurs de l`agriculture, de l`élevage et du bâtiment, de l’industrie, des banques, de l`hôtellerie, des services divers, privés et publics, de l`enseignement, des médias et autres. Le COTRAF a aidé 800 ménages et 1.500 travailleurs du secteur informel au Nord du pays à améliorer leurs revenus, à travers la création ou le renforcement de caisses d’épargne et de crédit, la création de boulangeries sociales, la formation et l’encadrement appropriés.

Le CEFOTRAR est un projet initié en 1987 avec la Coopération belge au développement. Il s’occupe de la formation des jeunes déscolarisés ou qui ont abandonné l’école prématurément. Il offre à plus de 350 jeunes une formation en menuiserie, en maçonnerie, en soudure, en couture, en cordonnerie et en coiffure et soins de beauté, qui leur donne, face à des emplois agricoles sursaturés, d’autres alternatives d’accès au marché de l’emploi. Après leur formation, le CEFOTRAR accompagne les jeunes formés pour une insertion réussie dans le monde du travail. Il travaille aussi à son autofinancement progressif.

L’ARR a pour vision « Un pays où les retraités sont respectés, reçoivent une pension décente et vivent dans de bonnes conditions ». En vue de défendre les droits et les intérêts des retraités rwandais, l’ARR développe diverses stratégies : plaidoyer, sensibilisation, promotion de l’accès aux facilités financières et aux soins médicaux, création des projets générateurs de revenus au profit de ses membres, assistance juridique aux retraités, etc.

NSINDAGIZA (« accompagne-moi » en français) a pour principe d’action « la solidarité intergénérationnelle ». De part leur riche expérience, les personnes âgées sont aux côtés des jeunes et ces derniers, de par leur force et dynamisme, accompagnent les personnes âgées. Il œuvre pour l’adoption et la mise en application effective des politiques et instruments juridiques, tout cela pour une vieillesse digne. NSINDAGIZA œuvre à la création et à la solidité des groupes d’assistance aux personnes âgées. NSINDAGIZA agit pour que les personnes âgées aient également leur place dans la société et le développement national. Il fait un travail important en matière de plaidoyer politique et de lobbying.

AMI est une organisation fondée par Laurien Ntezimana pour continuer l’œuvre socioéconomique et culturelle de ses deux amis Modeste et Innocent après leur mort. AMI est basée au Sud du pays où elle est très connue, mais ses activités se réalisent dans d’autres provinces du pays. Elle intervient aussi à l’Est de la République Démocratique du Congo en partenariat avec les organisations locales. Très active dans le domaine de la résolution des conflits et de la réconciliation nationale, AMI emploie l’approche de la « Bonne Puissance » pour valoriser l’homme en tant qu’être social au centre de tout développement.

Dans son action au profit des jeunes sans diplôme ou autre certificat, Solidarjob (solidarité et travail) met en avant les valeurs de travail et de solidarité. Il part du principe que les jeunes ont souvent des difficultés parce qu’ils sont issus des familles sans ressources suffisantes. Il aide ces jeunes à pouvoir se prendre en charge pour qu’à leur tour ils puissent aider leurs familles respectives. Il apprend aux jeunes des métiers divers dont notamment l’hôtellerie, la boulangerie, la cuisine et l’alimentation, l’agriculture et l’élevage modernes pour plus de production en protégeant l’environnement. Basé au Nord du pays, Solidarjob a une particularité de s’occuper, dans la mesure de ses moyens et dans le contexte du pays, des enfants de la rue pour leur réintégration dans la vie sociale digne.

COSYLI est l’une des trois confédérations syndicales du Rwanda. Il a été créé en 1993 et il regroupe 10 syndicats professionnels. Il est très actif dans la défense et la promotion des droits et intérêts des travailleurs et travailleuses, notamment ceux évoluant dans l’économie informelle. Ses principales stratégies sont la sensibilisation, la formation, assistance juridique aux travailleurs/euses et le plaidoyer politique.

L’association Agakura est née de l’ambition de son charismatique fondateur et coordinateur, le frère Déo, de sortir les enfants de la rue. Plusieurs centres sont actifs dans le pays afin de permettre à des jeunes en difficultés (enfants de la rue, orphelins, déscolarisés, en décrochage familial) d’apprendre un métier, dans différents domaines : élevage de porcs, fabrication artisanale de tuiles, cultures maraîchères, pisciculture, etc. Tous les projets sont mis en œuvre dans un souci de développement durable : les techniques utilisées évitent l’érosion des sols et sont partagées par des agents de développement. L’objectif est de permettre aux bénéficiaires de lancer leurs propres activités génératrices de revenus, dans le respect de l’environnement.

L’ODAG Caritas Gitega est une organisation issue de l’Eglise, qui a notamment pour objectif d’améliorer l’état de santé de la population, mais travaille aussi autour des questions de droits et de justice. Dans une perspective globale de lutte contre l’insécurité alimentaire, l’ODAG Caritas Gitega propose des microcrédits et développe des coopératives. Elle fonctionne avec des comités locaux, qui lui permettent de rester en contact avec les réalités de la population, sur le territoire de 3 provinces. Grâce aux mutuelles de santé développées, mais aussi à son investissement dans différents hôpitaux et centres de santé de la région, l’ODAG Caritas Gitega coordonne 16 mutuelles locales dans l’archidiocèse de Gitega, qui comptent ensemble quelque 25.000 bénéficiaires.

La Munasa est une mutuelle de santé qui vise à offrir à ses membres des soins de santé de qualité à un prix abordable, à partir de plusieurs stratégies : éveiller un esprit d’entraide et de solidarité, collaborer avec les prestataires de soins de santé dans l’amélioration de la qualité des soins, renforcer les sections existantes, créer de nouvelles sections et renforcer les capacités d’auto-développement des membres.

La CSB est une coupole d’une dizaine de syndicats qui œuvre à l’amélioration des droits du travail des employés burundais. Il leur offre un soutien au niveau organisationnel, mais également un soutien juridique. Ils sont actifs dans divers secteurs, tels que l’enseignement, les assurances, le transport, la production de café, les brasseries, etc.

La CBY a été fondée en 1944 pour contribuer à l’éducation, la santé et le développement intégral de l’homme. Motivée par l’absence, au Burundi, de structures pour les aînés, la congrégation a développé un programme de prise en charge psychosociale des personnes âgées, qui vise à lutter contre la solitude, les mauvais traitements et toute discrimination fondée sur l’âge.

La Plateforme des Acteurs des Mutuelles de Santé au Burundi (PAMUSAB) est un cadre de concertation et de plaidoyer pour les organisations mutualistes Burundaises, afin de permettre à la population Burundaise et en particulier celle du secteur informel et rural d’accéder aux soins de santé de qualité, par la promotion à la professionnalisation et à la défense des mutuelles de santé au Burundi.

C’est  une Coupole de syndicats et des fédérations représentant tous les secteurs professionnels de la vie socio-économique du pays.  Née en 1995,  elle compte maintenant 35 syndicats  et 5 fédérations fonctionnels qui représentent le secteur public et parapublic, le secteur privé et l’économie dite informelle.  Elle est la plus représentative avec plus de 264 465 membres.  

La  FNTT  née en 2006, elle  résulte de la fusion de deux syndicats  dont le Syndicat des Travailleurs des Transports et le Syndicat Professionnel des Taxi-Vélos du Burundi ainsi que 4 associations. Elle compte  quatre-vingt-sept  mille quatre cent soixante-sept membres (87.467) et elle a pour vision de renforcer les organisations des travailleurs de l’économie informelle en vue d’une contribution plus substantielle au système et mécanismes de dialogue social dans le cadre de l’agenda du travail décent et de la Protection Sociale.

APROSOC est une ONG de droit née des cendres du Programme d’Appui aux Mutuelles de Santé en Afrique (PROMUSAF). Elle a pour but d’informer et de sensibiliser les populations sur la protection sociale et la mutualité, appuyer techniquement les mutuelles de santé, former et renforcer les capacités des mutualistes, promouvoir la santé et l’éducation à la santé, mettre en réseau des initiatives mutualistes, faire des actions politiques/plaidoyer et la nutrition

MTC-B est un mouvement apolitique à caractère non syndical. Il s’appuie sur les travailleurs de toutes catégories socioprofessionnelles : les fonctionnaires, les ouvriers, les employés de bureau, de commerce, de maison, les sans-emploi, les travailleurs du secteur informel et les retraités.

MDB est une mutuelle à capital variable sans but lucratif régie par la loi n°2012-14 du 21 mars 2012 portant réglementation des systèmes financiers décentralisés en République du Bénin. Elle a pour mission d’améliorer les conditions de vie des acteurs économiques à la base à travers de services financiers et non financiers. Elle a pour objet de collecter l’épargne de ses membres et de leur consentir du crédit, de favoriser la solidarité et la coopération entre les membres, de promouvoir l’éducation économique, sociale et coopérative de ses membres.

SUO est une ONG de défense et de promotion des droits sociaux des femmes, des jeunes filles des enfants et de toutes les personnes socialement défavorisées Elle a pour objectif de promouvoir, défendre et sauvegarder les droits des enfants, des jeunes filles des femmes et de toutes personnes socialement défavorisées, améliorer les conditions de vie des enfants abandonnés, malnutris, déshérités, assister les orphelinats, les foyers d’enfants, les maternités et les centres de santé, mener des actions qui visent à sensibiliser et à éduquer ces couches à une prise de conscience relativement à la recherche de solutions aux problèmes qui minent ces couches sociales, œuvrer à l’évolution et à l’émancipation de la jeunesse féminine béninoise.

Le Centre Afrika Obota est une organisation rurale qui favorise la collaboration entre les petits producteurs de maïs et de manioc. Il offre des formations sur les microcrédits, ainsi qu’un appui technique, notamment sur la conservation des denrées alimentaires. Autres activités du CAO : programme d’émissions radiophoniques, formations en éducation civique, programme de promotion des organisations locales, formation des ONG et groupements à la base, appui aux activités génératrices de revenus. 

CONSAMUS est une plateforme nationale d’organisations mutualistes à caractère social doté de personnalité morale. Il a pour but de renforcer le mouvement mutualiste béninois pour l’accès des populations aux soins de santé, de promouvoir l’accès des populations aux services de protection sociale, de professionnaliser la gestion des mutuelles et renforcer leurs capacités d’intervention à travers leurs faîtières.

AHISSINON AKON est une association pour le développement des femmes vendeuses des marchés du Bénin et n'a aucune obédience religieuse ou culturelle. Elle a pour objectif d’organiser, unir et mobiliser les femmes vendeuses des marchés du Bénin, défendre les intérêts des femmes vendeuses pour leur développement social, développer l’esprit de solidarité entre les femmes vendeuses des marchés du Bénin, les conscientiser sur le rôle important qu’elles jouent dans la société, créer des initiatives favorables au développement, monter des projets générateurs de revenus, défendre les intérêts des femmes dans les marchés.

AS est une association des mutuelles de santé du Borgou et des Collines. Il a pour but de représenter les mutuelles et les mutualistes notamment pour la défense de leurs intérêts, d’échanger et de partager les idées et expériences, de favoriser l’entraide et la solidarité entre les mutuelles, de mener des actions communes et l’organiser, d’appuyer les mutuelles dans l’amélioration de la santé de leurs membres, de mettre en place et gérer les outils de sécurité financière de l’association, de participer à la promotion de l’assistance sociale en facilitant l’insertion des indigents dans le dispositif de couverture risque maladie.

CGTB est une fédération des syndicats de l’administration publique, du secteur privé et du secteur informel. Elle a pour but de défendre et de sauvegarder de façon permanente les intérêts matériels, moraux et professionnels des travailleurs, de favoriser et de développer l’esprit de solidarité entre les organisations syndicales et fédérations syndicales membres, de contribuer au renforcement de l’activité syndicale tant au niveau national, régional, qu’international, d’œuvrer à la promotion de l’emploi en vue de l’avènement rapide du plein emploi, de veiller à l’amélioration des conditions de vie et travail de ses membres et des travailleurs en général.

EMES est une organisation de protection sociale, de la formation professionnelle et de la création d’emploi pour les jeunes Il a pour objectif d’étendre la protection sociale aux acteurs de l’économie informelle et du monde rural y compris les indigents et autres catégories sociales exclues, de réduire le poids de l’exclusion sociale par la promotion d’initiative socio-économiques créatrices de revenus et d’emplois au sein des différentes composante de l’économie sociale, de promouvoir la formation professionnelle, l’artisanat et ses composants  et l’alphabétisation, d’orienter les jeunes vers la formation professionnelle et les métiers d’avenir, de promouvoir l’agriculture, l’élevage, la pêche et l’artisanat pour le mieux-être de cette catégorie de travailleurs.

CAPEJ est une ONG qui contribue à l’atteinte des ODD et à l’amélioration des conditions socio-économiques des populations démunies de notre pays. Il a pour objectif de soutenir les populations à défendre leurs intérêts à tous les niveaux, les aider à se prendre en charge et à résoudre leurs propres problèmes pour un véritable auto-développement conduisant à leur épanouissement et à leur bien-être social. Il intervient dans les domaines suivants : la Santé, l'Éducation et de l’Alphabétisation, la Formation et du socioculturel.

ADE est un groupe de personnes partageant les mêmes idéaux et ayant pour préoccupation majeure l’accompagnement des couches marginalisées, victimes d’abus et de conditions de vie précaires dans leur processus de développement intégral. Elle a pour vocation de contribuer au développement à la base. A ce titre, elle intervient dans plusieurs domaines d’activités dont les grandes lignes sont : le développement rural, l’économie, la santé, le social, l’éducation.

SYNAPROCEB est un syndicat qui défend les travailleurs·euses du secteur de la coiffure et de l’esthétique. Il est affilié à la CGTB. Ses nombreuses actions de sensibilisation et de formation s’orientent notamment sur l’égalité de genre, l’alphabétisation et la protection de l’environnement.

COSI est une confédération des travailleurs et travailleuses de tous les secteurs de la vie socioéconomiques et de toutes catégories socioprofessionnelles regroupés en syndicats et fédérations professionnels. Elle a pour but de défendre les intérêts matériels, moraux et professionnels de tous les travailleurs et de toutes les travailleuses membres de toutes catégories socioprofessionnelles, de créer des services reconnus nécessaires à tous les membres affiliés de tous les secteurs et de toutes catégories socioprofessionnelles, de renforcer les capacités des travailleurs (euses) membres en vue de leur permettre de jouer convenablement leur rôle dans les entreprises sur les lieux de travail à travers les actions de négociation de plaidoyer et de lobbying.

Créé en 1999, le Réseau d’Appui aux mutuelles de santé au Burkina Faso est une association burkinabè reconnue sous le numéro 2000/166/MATS/SG/DGAT/DLPAP. Il est aujourd’hui une ONG nationale qui a pour mission de promouvoir et développer les mutuelles sociales au Burkina Faso. Le réseau appuie de nos jours une trentaine de mutuelles de santé communales ayant plus de 20.000 bénéficiaires et 3 unions régionales de mutuelles. Son siège est situé à Ouagadougou

La Confédération Nationale des Travailleurs du Burkina a été créée en 1949. Organisation syndicale, sa mission est d'œuvrer à la protection et la promotion des droits du travail, syndicaux et ceux de l’homme. Elle compte environ 41.250 membres syndiqués et mène des actions d’assistance juridique aux membres, d’éducation ouvrière et de formation syndicale, de formation professionnelle, d’accompagnement des groupes spécifiques en AGR.

La MUFEDE-B est une coopérative d’épargne et de crédit principalement gérée par des femmes. Elle a été fondée en 1996 et compte actuellement plus de 50 000 membres. Sa mission est l’appui à l’émergence et au développement socio-économique de ses membres par l’appui à la création des activités génératrices de revenus, la promotion de l’entreprenariat et du leadership féminin, grâce à des produits de micro-crédits et d’épargne adaptés.

Né de la volonté de plusieurs associations de femmes de la province du Houet à Bobo-Dioulasso, le Groupe d’Action des Femmes pour la Relance Économique du Houet a été créé en 1995 pour contribuer à l'amélioration des conditions de vie des femmes de la province. L’une des initiatives de ce groupe a été le lancement du centre de recyclage des sachets plastiques, mais les associations membres du groupe ont des activités très variées, notamment le commerce, la restauration, la teinture, la savonnerie, le tissage. Le collectif GAFREH compte aujourd'hui 117 associations dont les membres s’élèvent à plus de 7000 femmes. Son principal but est de sensibiliser, de rassembler et de former les femmes pour leur permettre de jouer pleinement leur rôle dans le développement socio-économique de la province. L’organisation renforce les capacités de ces femmes, les aide à monter des projets viables et à leur trouver des financements.

Le Centre Écologique Albert Schweitzer du Burkina (CEAS Burkina) est une association de droit burkinabè à but non lucratif  d’appui technique. Implantée à Ouagadougou au Burkina Faso, ses activités ont débuté en 1982. L’objectif global du CEAS Burkina est de contribuer à l'amélioration des conditions de vie des populations par des actions qui allient écologie et économie. Spécifiquement : Contribuer à la préservation des ressources naturelles, contribuer à la résilience des populations face aux effets du changement climatique, faciliter l'accès à l'eau, l'hygiène et l'assainissement  aux populations défavorisées, promouvoir l'agro transformation. Il a pour groupes cibles tels que les collectivités territoriales, les artisans, les paysans, les promoteurs de petites unités économiques. Le CEAS Burkina intervient dans les 13 régions du Burkina Faso et dans la sous région. Sa mission est de contribuer au développement durable de l’Afrique en général, et du Burkina Faso en particulier, à travers la lutte contre la pauvreté, la protection et la gestion durable de l’environnement. Les domaines d’intervention du CEAS Burkina sont : les Technologies appropriées et Energies Renouvelables, l’Agro-écologie, l’Environnement, l'Agro-transformation et l’Assainissement

La Confédération Syndicale Burkinabè (CSB) a vu le jour le 19 septembre 1974. Elle est constituée d’une vingtaine de fédérations syndicales et syndicats professionnels. La CSB a une ligne syndicale révolutionnaire de lutte de classe. Elle lutte aux côtés de tous les travailleurs du monde entier contre toute forme d’exploitation de l’homme par l’homme pour une véritable démocratie pour la libération politique, économique, sociale et culturelle des peuples du continent africain et pour l’unité totale de l’Afrique.

L’Union Nationale des sociétés coopératives de Producteurs de Coton du Burkina Faso  (UNPCB) a été créée le 15 avril 1998 par les Unions Provinciales de Producteurs de Coton (UPPC) adhérentes aux statuts. L’objectif global visé par l’UNPCB est d’améliorer les conditions de vie de l’ensemble des producteurs  de coton du Burkina Faso. Elle compte plus de 9000 sociétés coopératives de producteurs de coton qui regroupent plus de 350 000 exploitants agricoles avec plus de 3 millions de bénéficiaires. Son siège est situé à Bobo-Dioulasso.

L’Association Zood-Nooma pour le développement a vu le jour le 06 septembre 1990 et devenue ONG nationale en 1996. Sa mission est d'œuvrer pour un développement humain durable (agriculture, élevage, éducation, santé, etc,.) par la mise en œuvre de programmes intégrés, participatifs et  soutenus de tous. Elle compte plus de 30 000 producteurs agricoles fédérés dans 14 communes situées dans les provinces du Bam, du Sanmatenga et du Kourweogo. Son siège est situé à Kongoussi.

La Confédération Nationale des Travailleurs de Guinée (C.N.T.G.) est une centrale syndicale nationale de la République de Guinée. Elle est créée depuis 1960. Elle regroupe les travailleurs/euses de tous les secteurs d’activités : public, mixte, privé, informel et les retraités sans distinction de nationalité, de sexe, de religion et d’opinion politique. Elle compte 18 fédérations syndicales couvrant toutes les branches professionnelles du pays. On dénombre au sein de la CNTB, 1 syndicat national (travailleurs domestiques), 8 unions régionales, 33 unions préfectorales et 5 unions communales (Conakry). La CNTG représente 71% des travailleurs/ses de Guinée suivant l’évaluation des organisations syndicales faite en 2014.

Fraternité Médicale Guinée (FMG) est une organisation à but non lucratif. Sa vocation principale est d’offrir une assistance médico-sociale aux couches vulnérables de la population. Elle défend l’accès universel à la santé. FMG occupe une place reconnue dans le domaine sanitaire en Guinée. Elle bénéficie d’un ancrage fort et démontre ses capacités aussi bien dans la gestion de l’offre de soins associative que dans l’essor des programmes de santé communautaire. FMG met en œuvre plusieurs projets de santé communautaire en Guinée. Pour le mouvement mutualiste, FMG assure la conduite du volet offre de soins notamment le déploiement de la médecine-conseil, le renforcement de la qualité des soins offerts aux mutualistes et la prévention contre les maladies clés des zones d’interventions.

L’organisation  DynaM,  sigle  pour  ‘dynamique  mutualiste’,  est  une  ONG  créée  en  2000 qui a pour objectif d’appuyer les systèmes de micro assurance de santé. Les  mutuelles  de  santé  accompagnées  par  DynaM  couvrent  aussi  bien  des  services  de  première  ligne  que  des  services  de  référence. Une  des  stratégies  principales de  DynaM  est  d’impliquer  tous  les  prestataires  dès  le  début  du  processus  de  mise  en  place  des  mutuelles,  afin  que  chacun  ait  le  même  niveau d'information. La priorité d’action est centrée sur la protection sociale pour les populations rurales défavorisées. DynaM appartient à une plateforme nationale de mutuelles, consultée par le ministère de la santé afin d’améliorer significativement la qualité des soins de santé et de permettre aux affiliés d’avoir accès à des soins de santé de base. Pour ce faire, DynaM contribue à l’élaboration d’un cadre national régissant les mutuelles de santé en Guinée, ainsi qu’à la réactualisation du système de protection sociale existant. Elle mène par ailleurs des actions de plaidoyer pour l’extension du système de sécurité sociale aux travailleurs de l’économie informelle.

PPSOGUI - Réseau des Promoteurs de la Protection Sociale en Guinée
Le réseau PPSOGUI a été créé en 2013 en vue de renforcer la structuration du mouvement mutualiste de Guinée. L’objectif est de contribuer à la construction d’une politique de protection sociale solide qui permette à toutes et tous d’avoir accès à des soins de santé abordables et de qualité. Elle rassemble différents acteurs de la société civile (syndicats, mutuelles ou autres) impliqués dans ce domaine pour s’organiser et peser ensemble pour que les mutuelles deviennent une réalité en Guinée.

GRAIM est créé depuis 1997 pour accompagner le mouvement mutualiste en santé en émergence. Il est reconnu comme association de droit sénégalais en 2002. L’organisation mène différentes actions et s’est ancrée dans le milieu du développement au niveau national à travers différents domaines : protection sociale, développement des organisations et des institutions, environnement, formation et l’emploi des jeunes et des femmes, le développement économique, etc.

Action Jeunesse Environnement est une organisation à but non lucratif mise en place depuis 1998. Elle gère des programmes de lutte contre la pauvreté, d'éducation environnementale, de santé, et de renforcement des capacités. Elle s'active dans l’appui à la formation et à l’emploi des jeunes, à l’autonomisation socio-économique des femmes à travers le soutien aux initiatives de développement économique.

La Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal est créée depuis 1968 est la première centrale syndicale en termes de membership. Elle a pour vision de favoriser la création d’opportunités pour le travail décent, l’assurance chômage pour les travailleurs licenciés. Elle compte 135 000 syndiqués, organisés en 14 antennes régionales. Elle a pour mission de défendre leurs intérêts et droits mais aussi de participer au développement du pays. Elle est membre de la CSI et siège dans l’ensemble des institutions de sécurité sociale et dans des instances de décisions au niveau national.

Oyofal Paj est un réseau regroupant plus d’une quarantaine de mutuelles de santé communautaires des 3 départements de la région de Kaolack. Le réseau appuie le développement des mutuelles membres et mène des actions de sensibilisation, de renforcement de capacités et de plaidoyer pour une extension de la protection sociale, la gestion durable de l’environnement et l’emploi des jeunes.

L’Union Nationale des Mutuelles de Santé Communautaires (UNAMUSC) du Sénégal, mise en place en décembre 2014, regroupe 676 mutuelles de santé communautaires à travers 14 unions régionales, 45 unions départementales pour 800 000 membres et 4 millions de bénéficiaires. Les  mutuelles de santé communautaires sont partenaires de l’État du Sénégal, sont responsables et gèrent le régime d’assurance santé dans le cadre de la CMU au Sénégal.

Créée en 1975, Enda Graf Sahel est une organisation qui travaille avec les populations urbaines et rurales en adoptant une démarche de recherche-action (RAF). ENDA Graf Sahel dont la vision est de contribuer à l’avènement d’une société solidaire, respectueuse de la dignité humaine, de la justice sociale et de la diversité culturelle, où les ressources sont réparties équitablement et gérées dans l’intérêt des générations futures, s’active dans la valorisation des initiatives des acteurs de la société civile pour une meilleure prise en compte de leurs idéaux dans les politiques publiques et le renforcement de leurs capacités politiques, techniques, économiques et sociales. 

SADD est une organisation de défense et de promotion des droits humains notamment les droits économiques sociaux et culturels dont le droit à un travail décent. Elle a été créée le 10-10-2001. Elle offre des formations, des sensibilisations directes. Elle fait des plaidoyers, anime des émissions radios sur les thématiques en lien avec le droit du travail, la protection sociale.

SYNPHOT est une organisation syndicale de la santé créée le 12 octobre 2005.  Elle a pour but d’étudier, de défendre et de promouvoir les intérêts matériels, professionnels, sociaux, économiques et culturels des travailleurs de la santé du secteur public. Elle offre des sensibilisations, des formations. Elle mène des actions de plaidoyer en lien avec la protection sociale

CNCMUT est un Cadre national de concertation de la mutualité au Togo créé en 2006 et formalisé le 05 mai 2014. Il offre un encadrement et une animation de toutes les organisations de protection sociale au Togo. Il facilite les échanges, mène des actions de plaidoyers et offre des renforcements de capacités et des sensibilisations.

CSTT est une confédération syndicale des travailleurs du Togo créée en 1949, dissoute en décembre 1972 et ressuscitée le 09 mai 1991. Elle a mis en place des coopératives de production et de commercialisation, créé un centre de formation professionnelle des jeunes. Elle appuie également les mutuelles de santé et les travailleurs de la zone franche afin qu’ils puissent bénéficier de la protection sociale.

La plateforme est créée en avril 2014 et intervient dans la défense et la protection des droits des enfants et des travailleurs domestiques (Assistance juridique). Elle fait le renforcement des capacités organisationnelles et mène des actions de plaidoyer.

Créé en 1994, WAGES et devenu un Service Financier Décentralisé sous forme associative officiellement reconnue par les Ministères de tutelle au Togo, WAGES contribue à l’amélioration des conditions de vie des populations, en majorité les femmes menant des activités économiques en zones urbaines et rurales du Togo, en leur offrant des services financiers et non financiers. Il  intervient dans les 6 régions économiques du Togo à travers plus d’une trentaine d’agences et guichets.

SYDEMINES est une organisation syndicale créée le 1er-5-1991 et qui regroupe et organise les travailleurs du secteur des mines pour la défense et la gestion de leurs intérêts communs. Il renforce les capacités de ses membres sur la liberté syndicale, le travail décent, le dialogue social, la sécurité et santé au travail. Il fait des actions de plaidoyer auprès des décideurs pour assurer aux travailleurs une législation du travail juste qui respecte les normes et standards internationaux.

MAPTO est une organisation paysanne à vocation syndicale, créée le 20-8-2003 par des petits producteurs désireux de devenir acteurs de leur propre développement. Avec sa mission de « défendre les intérêts du paysan », il rassemble aujourd’hui plus de 22 810 membres actifs répartis dans toutes les régions agricoles du Togo. MAPTO se veut être  à l'horizon 2026, une organisation professionnelle agricole (OPA) forte, œuvrant pour l’amélioration des conditions des actifs agricoles et pour un développement humain durable .

ATDPDH est une organisation culturelle, apolitique et à but non lucratif. Elle est créée le 27-12-1998. Ses objectifs sont d’assurer l’accès facile à l’information, à l’éducation et aux services en matière des droits humains et de la citoyenneté, d’œuvrer à l’application du droit et faire avancer la cause de la démocratie et de l’Etat de droit, de contribuer à la réduction des cas d’impunité, d’injustice et d’abus au sein de la population, de favoriser les échanges d’informations entre les populations.

MUSATRAV est une mutuelle de santé des travailleurs créée le 07 mai 1997 sous forme d’association régie par la loi de 1901. Elle est promue par la CSTT sous la dénomination initiale de la MUSA-CSTT, 1ère MUSA créée  depuis mai 1997. Elle offre une assurance maladie aux travailleurs en général et à ceux du privé et de l’informel en particulier. Elle fait de la sensibilisation aux prestataires de soins.

MUPROSI/FTBC est une mutuelle de santé créée le 19 mars 2005. Elle intervient dans la prévoyance, l’entraide et la solidarité en matière de risque de la maladie. Elle offre le renforcement des capacités sur les actions de prévoyance, d’entraide et de solidarité en matière de risque de la maladie. Elle offre des sensibilisations.

FTBC-TOGO est une fédération des travailleurs du bois et de la construction du Togo créée le 13/02/2001. Elle intervient dans la protection et la défense des droits syndicaux/humains des travailleurs du secteur du bois et de la construction. Elle offre la formation syndicale, la formation professionnelle des jeunes du secteur, la protection sociale des travailleurs du secteur informel via la mutuelle de santé MUPROSI/FTBC.

UNSIT est une union nationale des syndicats indépendants du Togo créée le 19-5-1991. Elle a participé à l’adoption de l’actuel code de sécurité social, à la définition nationale et l’approche de la protection sociale au Togo, à la mise en place de l’Institut national d’assurance maladie, à la révision des textes sur la CNSS. Elle a pris part à l’étude de faisabilité et mise en place avec l’appui de la CSI Afrique de la mutuelle de santé des travailleurs de l’enseignement confessionnel.

COSEPLAC est un collectif des syndicats des enseignements privés laïc et confessionnel créé en 2011. Il offre des sensibilisations et formations des enseignants sur la protection sociale, en synergie avec SADD. Renforce les actions de défense et de promotion de la protection sociale des enseignants notamment par l’adoption de la convention collective sectorielle. 

Active au Mali depuis 1996, l’UTM vise à renforcer la solidarité entre les différents groupements mutualistes de santé, par le biais d’un service général de réassurance, d’une caisse d’assurance maladie et d’activités dans le domaine de la prévention, de la santé et de l’entraide. Son action couvre à la fois le secteur de l’éducation, celui de l’éducation à la santé et celui des mutuelles de santé. Comme elle organise des concertations et la collaboration entre les mutuelles de santé et qu’elle mène les discussions avec les prestataires de soins et les autorités politiques, l’UTM est devenue un véritable interlocuteur pour les autorités maliennes en matière de politique de santé. Ensemble, ils analysent comment atteindre l’accès universel aux soins de santé au Mali. A terme, l’objectif de l’UTM est d’être impliquée directement dans la gestion des soins de santé.

Kondo Jigima est une caisse d’épargne et de microcrédits qui existe depuis 1995. Grâce à la mise en place d’un outil de financement réellement adapté aux plus défavorisés et aux organisations qui s’adressent à eux, Kondo Jigima compte près de 75.000 membres, répartis sur une centaine de caisses locales d’épargne-crédit. Par l’octroi de microcrédits, entre autres à des personnes qui ne pourraient pas obtenir de crédits ailleurs, elle contribue activement à la lutte contre l’extrême pauvreté. Pour le remboursement des crédits, Kondo tient compte du contexte local : échéances adaptées au cycle saisonnier, intérêts plus bas que d’autres institutions de crédit, prise en compte du niveau de revenus, etc. Par ailleurs, Kondo Jigima stimule les initiatives d’économie sociale et accompagne des groupements de femmes, qui développent toute une série d’activités génératrices de revenus : artisanat, petits commerces du secteur informel, agriculture, etc. Enfin, l’organisation est également active sur le plan de l’éducation et de l’alphabétisation, deux secteurs fondamentaux pour permettre l’accès à l’emploi.

Le MTC est un mouvement socioculturel qui vise à améliorer les conditions de vie et d’emploi des travailleurs. Basé à Bamako, il existe depuis 1985 et se consacre en priorité à quatre groupes vulnérables de la population : les enseignants des écoles primaires, qui n’ont généralement pas de contrat de travail et sont peu rémunérés ; le personnel domestique, qui sont souvent des jeunes filles peu scolarisées, recrutées dans les campagnes et qui ne connaissent pas leurs droits ; les artisans, qui sont pour la plupart illettrés et sont donc à la merci des abus ; enfin les jeunes, qui peuvent avoir des difficultés à trouver du travail, surtout s’ils n’ont pas accès à l’outil informatique.  En collaboration avec l’UTM, le MTC mène des actions politiques contre l’exclusion sociale et pour le travail décent. De plus, pour faire aboutir certaines de leurs revendications (comme l’obtention d’une demi-journée de repos pour les aides ménagères), le MTC travaille en étroite collaboration avec le syndicat et d’autres organisations. Enfin, le MTC contribue à une meilleure égalité des genres, notamment en matière de droit à l’épanouissement de la femme, surtout pour celles en provenance de zones rurales.

La Confédération syndicale internationale (CSI) est la voix mondiale des travailleurs du monde entier, avec près de 340 affiliés nationaux, représentant près de 200 millions de travailleurs dans plus de 160 pays et territoires. La mission première de la CSI est la promotion et la défense des droits et des intérêts des travailleurs, par le biais de la coopération internationale entre les syndicats, de campagnes mondiales et d'actions de plaidoyer au sein des principales institutions mondiales. Elle fait campagne en faveur d'un nouveau contrat social comprenant
- une protection sociale universelle
- des emplois décents et respectueux du climat, avec une transition juste
- des droits pour tous les travailleurs sur des lieux de travail sûrs et sains
- un salaire minimum vital
- l'égalité des revenus, des sexes et des races
- Inclusion au sein des pays et entre eux

Le Réseau Africain de l’Economie Sociale et Solidaire (RAESS), est une organisation associative à but non lucratif. Il a été créé en 2010 sous l’initiative de 25 organisations de la société civile de pays du continent. Il réunit en son sein 22 Réseaux-pays (Algérie, Maroc, Tunisie, Egypte, Bénin, Côté d’Ivoire, Burkina Faso, Cameroun, Togo, Sénégal, Mali, Niger, Guinée, Guinée Equatoriale, Iles Maurice, Ethiopie, République Démocratique du Congo, Cap-Vert) agissant dans le domaine du développement durable inclusif. Le RAESS agit dans le domaine du développement durable inclusif.

Le siège du RAESS est officiellement basé à Bamako au Mali depuis avril 2016, où le RENAPESS Mali (Réseau National d’Appui à l’Economie Sociale et Solidaire) assure la coordination à travers la personne de Monsieur Madani COUMARE, son Président.

Le RAESS est membre du Réseau International de Promotion de l’Economie Sociale et Solidarité (RIPESS) (www.ripess.org)

CRISOL est une organisation qui lutte pour les droits des travailleurs par le biais de la formation et de l'accompagnement en conseil du travail pour assurer le respect du droit à la liberté d'association et l'accès aux systèmes de protection sociale.

CPMGA encourage les processus de sensibilisation et de formation au leadership pour la défense des intérêts politiques par le biais d'actions qui favorisent la reconnaissance, l'applicabilité et la jouissance des droits humains des femmes, tels que l'accès à la protection sociale et à un travail décent. 

SENTEC facilite la formation technique spécialisée et met en œuvre des programmes de médecine traditionnelle bolivienne et de thérapies alternatives complémentaires qui contribuent à promouvoir des actions de promotion et de protection sociales axées sur le renforcement des ressources humaines locales et l'utilisation d'énergies alternatives.

La Fondation Kallpa est une institution à but non lucratif et apolitique qui promeut depuis 2011 les droits économiques, sociaux et culturels de la population de Cochabamba en Bolivie à travers des projets de développement intégré et la promotion du bien-être, dans le but de contribuer à la réalisation de conditions de vie dignes qui permettent d'établir une vie en dehors de la pauvreté, vers une culture d'égalité et de respect des droits de l'homme. Dans ce contexte, la Fondation Kallpa soutient le projet Trabajo Digno depuis 2019.

La CGTG regroupe des syndicats, des mouvements sociaux et des coopératives et a été créée en 1987. Elle représente plus de 61 000 travailleurs, répartis dans différentes fédérations et secteurs du pays. La Confédération s'adresse à tous les travailleurs : hommes et femmes, jeunes et retraités, dans l'économie formelle et informelle, indépendants, petits producteurs, etc. Outre son action syndicale (sensibilisation, défense des droits, assistance juridique), la CGTG contribue à la mise en place d'une sécurité sociale pour les plus vulnérables (mutuelles, consultations médicales) et a mis en place des pharmacies dans 12 villages. Enfin, les membres peuvent obtenir des microcrédits, par exemple pour ouvrir leur propre entreprise.

Née en 1985 à la suite d'un effort de réarticulation du mouvement syndical et populaire guatémaltèque, il s'agit d'une centrale syndicale avec une présence nationale, qui intègre des syndicats de travailleurs dans les secteurs de l'industrie, des services, de l'agriculture, de l'auto-emploi et des paysans indépendants. Il fournit également des conseils juridiques et des services d'accompagnement, ainsi qu'un accès à la protection sociale par le biais de stratégies d'économie sociale. 

Créée le 30 avril 1983, elle compte environ 30 000 membres répartis dans 89 syndicats et quatre fédérations. Elle s'engage à défendre les droits des travailleurs et des syndicats et fournit des services de soutien et des conseils juridiques aux travailleurs formels et informels, ainsi qu'un accès à la protection sociale par le biais de stratégies d'économie sociale.  

Le Movimiento de los Trabajadores y Campesinos a été créé en 1997, initialement pour défendre les producteurs de café de la région de San Marcos, l'une des plus pauvres du Guatemala. Le MTC accorde également une attention particulière aux migrants, aux jeunes et aux femmes. Ses domaines d'action sont le travail décent, la formation, la protection sociale, les droits du travail et les droits des indigènes. Le MTC lutte pour les droits des paysans à améliorer leurs moyens de subsistance et leur bien-être par le biais de la formation et de l'éducation et par la promotion des coopératives pour l'accès au crédit et à la terre. 

Ce mouvement accueille des enfants et des jeunes de la rue, principalement dans les quartiers marginalisés de la capitale. L'organisation existe depuis 1994 et a été fondée par quatre femmes qui vivaient dans la rue. MOJOCA apporte son soutien à environ 400 filles, garçons et enfants, et a aidé des centaines d'entre eux à quitter la rue et à s'intégrer dans la société, en promouvant et en défendant les droits de l'homme et les droits du travail des jeunes en situation précaire, en leur offrant une formation et/ou une formation qualifiante pour faciliter leur intégration dans la société et leur permettre d'accéder à de réelles opportunités de travail décent.

La JOC Guatemala est une organisation de jeunesse créée en 2003 qui défend les droits des jeunes, en particulier leurs droits du travail. C'est un espace où les jeunes s'organisent pour lutter pour des conditions de vie décentes, pour trouver le sens profond de leur existence et pour contribuer à un monde plus juste et plus humain.

Le CSP est un syndicat indépendant couvrant de nombreux secteurs et fondé sur le respect des différences. Le CSP travaille pour et avec les travailleurs afin d'améliorer les conditions de vie et de travail. Il offre de nombreux services à ses membres : consultations médicales à des prix abordables, commercialisation de produits alimentaires à des prix abordables, formation aux droits du travail, contribution à l'élaboration d'un code du travail dans des secteurs spécifiques, accès pour tous aux prestations sociales, etc.

Le GRESP est un réseau national de promotion de l'économie sociale et solidaire, composé d'associations de producteurs, d'organisations sociales, d'organisations non gouvernementales de développement, d'organisations religieuses et d'individus. Depuis 1997, il contribue à l'économie solidaire, notamment par la création de Groupes d'initiative en économie solidaire (GIES), le développement d'un Réseau péruvien pour le commerce équitable et la consommation éthique, la mise en place de marchés de producteurs et d'artisans basés sur l'agroécologie et le commerce équitable, etc. Le GRESP a également collaboré à la formation des groupes parlementaires "Coopératives et économie solidaire" au sein du Congrès de la République du Pérou.

L'ANP, qui existe depuis 1928, est le syndicat des travailleurs de la presse et des médias : journalistes, mais aussi photographes, dessinateurs, journalistes indépendants, etc. Elle se concentre notamment sur le droit à la protection sociale, l'économie solidaire et le droit du travail. Ses actions de sensibilisation et de plaidoyer ciblent principalement les jeunes et/ou les travailleurs vulnérables de ce secteur.

La JOC Pérou existe depuis 1935 et œuvre à la défense des droits des jeunes travailleurs péruviens. Elle dispense notamment des formations sur les droits du travail et l'économie sociale et solidaire, et mène régulièrement des campagnes de sensibilisation sur ces questions. C'est un mouvement de, par et pour les jeunes, qui vise à améliorer leurs conditions de vie et de travail et à construire un monde plus juste et plus solidaire.

Il s'agit d'une organisation à but non lucratif fondée en 1980 par des travailleuses domestiques. Sa mission est d'améliorer la qualité de vie des travailleurs domestiques au Pérou, en leur donnant les moyens d'agir grâce à la formation, au placement, aux droits du travail, à la protection sociale et à la reconnaissance de leur contribution à l'économie des soins. Leur travail de plaidoyer les a amenées à faire pression pour la ratification de la convention C189 de l'OIT et la promulgation de la loi n° 31047, en vertu de laquelle le 30 mars est considéré comme un jour férié payé pour les travailleurs domestiques. Elles fournissent des services de soins par l'intermédiaire de leurs crèches pour les soins et la stimulation des enfants des travailleurs domestiques ; elles accueillent les travailleurs domestiques les plus vulnérables, y compris les migrants. 

Il s'agit d'une association civile à but non lucratif qui, depuis 2004, travaille à l'autonomisation des jeunes Afro-Péruviens en situation de vulnérabilité et d'exclusion pour la défense de leurs droits humains et leur participation politique interculturelle dans les espaces de prise de décision, en vue du développement des communautés afro-péruviennes et du renforcement d'une société démocratique et inclusive.

C'est une organisation syndicale affiliée à la CSI-CSA qui, depuis 1986, s'est fixé comme objectif la construction et le maintien d'une société de personnes libres dont les valeurs fondamentales sont la justice sociale, l'égalité, l'équité et la liberté. Ainsi que le respect de la pluralité et de la diversité dans le cadre du système démocratique. Elles favorisent la croissance économique, le développement humain et la préservation de l'environnement. Nous estimons que le bien commun doit être au centre de l'action politique et sociale.
Ils considèrent le travail comme le bien le plus précieux qui doit être protégé afin de garantir qu'il n'y ait pas de personnes pauvres, exploitées et/ou marginalisées.

Il s'agit d'une organisation syndicale qui propose des formations et mène des actions dans différents domaines tels que l'éducation ou le secteur public. Sa mission est d'étudier, de défendre, de développer et de protéger les droits du travail, la liberté d'association et les conditions de travail décentes des travailleurs. Elle offre à ses membres une large gamme de services : coopératives d'épargne et de crédit, pharmacies, conseils juridiques, assurances et même épargne funéraire. L'institut de formation INFAS offre une formation professionnelle à des milliers de travailleurs (cuisine, informatique, etc.).

Il s'agit d'une organisation à but non lucratif de nature syndicale fondée en 1974 et l'une des trois principales centrales syndicales de la République dominicaine. Il s'agit d'une organisation de travailleurs démocratique, pluraliste et participative qui défend les droits des travailleurs.

Il s'agit d'une organisation syndicale, démocratique et pluraliste qui défend les droits et libertés du travail de notre peuple en général et de la classe ouvrière. Le CNUS représente des travailleurs des secteurs de l'éducation, de la santé, de l'alimentation, des opérateurs de machines lourdes, des travailleurs des mines, des professionnels, des paysans, des travailleurs du secteur des boissons et du secteur informel, entre autres.

La Mutualidad de Servicios Solidarios - AMUSSOL a été créée en 2003 par la CASC afin de promouvoir une meilleure protection sociale pour les travailleurs du secteur informel. La principale force de l'AMUSSOL est de fournir à ces travailleurs informels des interventions de protection sociale (soins médicaux) là où ils n'étaient pas couverts dans le passé. Sa principale mission est de promouvoir la participation et l'intégration de tous les travailleurs dans le système dominicain. 

MOSCTHA est née en 1985 à l'initiative de syndicalistes et d'étudiants dominicains et d'immigrants haïtiens. Pendant 20 ans, elle a mené un travail intensif dans les bateyes (plantations de canne à sucre) et dans les régions frontalières entre la République dominicaine et Haïti. Au départ, son action visait, d'une part, à améliorer les conditions de vie quasi inhumaines des travailleurs haïtiens et, d'autre part, à organiser un cadre favorable au retour de la démocratie en Haïti. Depuis, MOSCTHA n'a cessé d'élargir le champ de ses activités : assistance juridique, consultations médicales, assainissement de l'environnement (assainissement et approvisionnement en eau), micro-crédit, services funéraires (via AMUTRABA), formation/éducation et activités syndicales.

Fondée en juin 2000, la FEI s'intéresse à la lutte contre la pauvreté, à la défense des droits de l'homme et à la mise en œuvre de programmes et de projets de développement intégré. Elle s'adresse principalement aux travailleurs migrants, dont les Haïtiens. Elle mène également des projets d'économie sociale et de sensibilisation.

CONAMUCA a été fondée en novembre 1986. Elle aide principalement les femmes vivant à la campagne ou dans les municipalités de la périphérie des provinces (paysannes, petites productrices, étudiantes, chômeuses ou femmes au foyer), en vue d'améliorer leur situation, notamment par la santé, la formation, la culture et la protection des droits de l'homme.

Fondée le 27 mars 2008 à Panama City, Panama, elle regroupe plus de 48 organisations nationales de 21 pays, représentant 55 millions de travailleurs. La CSA est l'organisation régionale de la Confédération syndicale internationale (CSI) et a pour objectifs la lutte pour le plein respect et la promotion des droits de l'homme en général et en particulier des droits syndicaux et du travail de toutes les personnes, l'égalité et l'équité entre les sexes, le développement syndical, la solidarité, le renforcement des processus d'unité syndicale, la démocratie politique, sociale, syndicale et économique, le renforcement de l'État de droit social, l'intégration économique, sociale et culturelle et la solidarité des nations de la région, la paix et l'autodétermination des peuples.

Il s'agit d'un réseau continental qui rassemble des organisations communautaires, associatives, coopératives et mutualistes, ainsi que des mouvements de citoyens œuvrant pour une économie solidaire en Amérique latine. Ils construisent et promeuvent l'économie sociale et solidaire, en intégrant la dimension sociale et éthique dans toutes les activités économiques, en générant des alliances, des collaborations et des articulations multi-partenariales avec des organisations fraternelles en Amérique latine et dans les Caraïbes, ainsi qu'en Afrique, en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et en Océanie.

La Marche mondiale des femmes est un mouvement d'action féministe international qui rassemble des groupes et des organisations de base travaillant à l'élimination des causes profondes de la pauvreté et de la violence à l'égard des femmes.  Elle lutte contre toutes les formes d'inégalité et de discrimination subies par les femmes. Ses valeurs et ses actions visent le changement social, économique et politique et se fondent sur la mondialisation de la solidarité, l'égalité entre les hommes et les femmes, entre les femmes elles-mêmes et entre les peuples, le respect et la reconnaissance de la diversité des femmes, la multiplicité de nos stratégies, la valorisation du leadership des femmes et la force des alliances entre les femmes et avec d'autres mouvements sociaux progressistes.

Il s'agit d'un mouvement de jeunes travailleurs qui, sur la base de leur propre expérience de vie et de travail, mènent des actions visant à lutter contre les injustices qui existent dans leur réalité, l'éducation par l'action avec des jeunes de différents secteurs sans emploi, des travailleurs de l'économie informelle, des jeunes femmes, avec des contrats temporaires, entre autres.

WSM est l'ONG du Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC) et de ses organisations constitutives. Elle oeuvre à renforcer des mouvements sociaux sur plusieurs continents et les rassemble sous forme de réseaux, afin que les générations actuelles et futures puissent bénéficier du droit universel à une vie digne et à une protection sociale. Sa raison sociale est, entre autres, de:

• Défendre les droits du travail et le droit à la protection sociale; 
• Prévenir et éradiquer la pauvreté et l’exclusion ;

La Confédération des syndicats chrétiens, ou CSC (en néerlandais : Algemeen Christelijk Vakverbond, ou ACV), est le syndicat majoritaire en Belgique, position encore confirmée par les résultats des élections sociales 2008. Le syndicat est national. Pour la CSC, la solidarité internationale est un élément essentiel de l’action syndicale. Dans l’économie mondiale globale, les intérêts des travailleurs de notre pays ne peuvent être dissociés de ceux des autres pays.

Dans le monde entier, la CSC soutient les syndicats représentatifs, autonomes et libres dans leur lutte pour la justice sociale et le travail décent.

La mutualité chrétienne (Christelijke Mutualiteit en néerlandais) est une mutualité belge (assurance sociale) fondée en 1886, bien que sa création fût officialisée par arrêté royal le 28 mai 1906. Son abréviation usuelle est «MC», reprise d'ailleurs sur son site internet www.mc.be, et son slogan s'axe autour d'un de ses principes fondamentaux: "la solidarité, c'est bon pour la santé".Une des missions de la MC est de garantir l'accès aux soins de santé en développant les mutualités et la solidarité dans le monde entier. Dans de nombreuses régions du monde et en particulier dans les pays du Sud, la plupart des familles n’ont pas accès à des soins de santé de qualité. En réponse à diverses demandes venant de l’étranger, la MC a choisi de soutenir l’émergence d’initiatives mutualistes, mais aussi de s’en inspirer, dans une double démarche d’ouverture et d’échanges.

Il s'agit d'une organisation non gouvernementale (ONG) à but non lucratif dirigée par des femmes, créée en 1993 dans le but d'assurer la justice sociale, la protection et la promotion des droits de l'homme, en particulier des droits de l'enfant. Pour atteindre cet objectif, elle travaille sur trois piliers programmatiques : La protection de l'enfance, les droits à l'éducation et l'autonomisation des familles. 

Créée en 1998 sur la base des droits fondamentaux et des responsabilités prévus par la constitution du Népal, l'association a pour objectif d'aider les femmes handicapées à faire valoir leurs droits et de leur fournir une protection et des moyens de subsistance. Si les femmes handicapées de toutes les couches de la communauté népalaise ne comprennent pas leurs droits fondamentaux, notamment ceux garantis par la Convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées, et ne les exercent pas, leur vie ne sera ni brillante ni prospère. 

La NDWA vise à renforcer les capacités des WWD vivant dans les zones urbaines et reculées du pays, afin de les rendre capables et autonomes pour qu'elles puissent prendre l'initiative d'exercer leurs droits. Il est essentiel d'autonomiser les femmes issues d'autres communautés défavorisées, telles que les femmes handicapées dalits et madhesi, afin de renforcer leur estime de soi et leur confiance. Dans ce contexte, la NDWA a un rôle important à jouer dans la défense des intérêts des WWD, tels que les droits à l'éducation, à la santé, à l'emploi, à la réadaptation et à la sécurité sociale. La NDWA cherche à créer et à diriger un réseau national de groupes d'entraide de WWD pour réaliser sa mission. 

Organiser, protéger et promouvoir les travailleurs non protégés et non organisés du secteur informel, y compris les travailleurs à domicile, dans tout le Népal, en défendant et en responsabilisant les travailleurs à domicile directement et par l'intermédiaire d'organisations membres à différents niveaux. Actuellement, HNN se concentre sur l'organisation des travailleurs à domicile et des producteurs de base non organisés, non protégés et invisibles. Il plaide en faveur d'une protection sociale complète pour les travailleurs du secteur informel et pour la promotion de l'emploi décent et de l'auto-emploi. HNN travaille également sur l'égalité des sexes et met fin à toutes les formes de violence et de harcèlement en promouvant le centre de gestion de crise à guichet unique (OCMC).  

En outre, il s'engage pleinement à soutenir les producteurs indépendants de base et les travailleurs à domicile externalisés et à les aider à créer des opportunités de marché à l'intérieur et à l'extérieur du pays. HNN collabore également avec des chercheurs sur plusieurs questions concernant les travailleurs du secteur informel. 

Il a été créé pour répondre aux besoins d'une plateforme commune visant à mettre fin au travail forcé au Népal. Ce réseau ouvert implique 21 organisations de toutes les régions du Népal et a mené des actions de sensibilisation et de formation sur le travail forcé, de plaidoyer au niveau politique, de surveillance civile des conditions de travail forcé, etc. Le FLeAG a mené diverses activités en coordination et en collaboration avec l'OIT et d'autres organisations nationales, telles que des ateliers de renforcement des capacités pour les membres du FLeAG, des réunions de discussion avec les membres du Parlement pour la loi intégrée sur le travail forcé, des consultations avec les syndicats, des interactions avec le ministère du travail, de l'emploi et de la sécurité sociale, le ministère de l'aménagement du territoire, des coopératives et de la lutte contre la pauvreté, des délégations auprès des différents ministères, des partis politiques, etc. Son objectif est de libérer le Népal de toutes les formes de travail forcé grâce au système politique et à la mise en œuvre par le biais d'une large participation des citoyens. 

Le NEPAN est une organisation en réseau créée par des professionnels du développement et des institutions similaires qui se consacrent à la promotion d'une approche participative et centrée sur les personnes dans les interventions de développement. 

dans les interventions de développement. Cette organisation a été créée en 1992 en tant que réseau informel et a été enregistrée en tant qu'organisation non gouvernementale (ONG) en 1995. Actuellement, le NEPAN bénéficie du soutien d'environ 150 membres à vie, 161 membres annuels et 38 membres institutionnels.  

Depuis le début, les fonctions essentielles du NEPAN sont le partage des connaissances, le renforcement des capacités et la recherche. La bonne gouvernance, l'intégration de la dimension de genre et l'inclusion sociale sont considérées comme des questions transversales. Le NEPAN travaille sans relâche depuis 23 ans avec une capacité de 5 à 20 personnes à temps plein et de 5 à 10 personnes à temps partiel, en fonction de l'importance du financement.  

Son objectif est de devenir un réseau dynamique capable de plaider en faveur d'un développement participatif, centré sur les personnes et inclusif au Népal par l'intermédiaire de ses membres, collaborateurs et partenaires. 

Organisation non gouvernementale créée en 1995 dans le but de défendre les droits socioculturels, économiques et politiques des femmes célibataires du Népal. WHR s'efforce de créer une société juste et équitable où il n'y aura "aucune discrimination sur la base de l'état civil". 

WHR a été un pionnier dans la prise en compte des problèmes des femmes célibataires et a travaillé dans le domaine de l'autonomisation socioculturelle, économique, juridique et politique des femmes célibataires. 

En tant qu'organisation humanitaire, WHR se consacre à la création d'un réseau actif de femmes célibataires au niveau régional, national et international. En travaillant exclusivement avec et pour elles, WHR se consacre à la défense des droits des femmes célibataires et à la création d'une société impartiale où leurs vies sont renforcées et autonomisées. 

Nari Sewa Kendra (NSK) (anciennement Nari Hasta Kala Vikas Kendra) encourage et développe les communautés pour soutenir les droits des femmes pauvres et exclues. L'objectif est de garantir la participation directe du groupe cible au processus de prise de décision, à la mise en œuvre, au partage des bénéfices et à l'évaluation de l'ensemble du processus en tenant dûment compte de la transparence, de l'intégrité et de la responsabilité. 

RDN est l'organisation nationale des Dalits qui travaille dans le domaine des droits des Dalits, des droits fonciers, des droits des Haliya, des droits des Kamaiya et des droits de l'homme par la mobilisation des communautés, le renforcement des capacités et les campagnes de plaidoyer depuis sa création. Elle travaille dans tout le pays, dans 77 districts. Elle compte un militant dalit dans chaque district et sept sections provinciales ont été créées et sont opérationnelles. RDN Nepal est enregistrée en tant qu'organisation non gouvernementale auprès du bureau d'administration du district de Kailali et affiliée au Conseil de la protection sociale en 2004. Il organise l'assemblée générale chaque année et des élections tous les trois ans dans le cadre d'une pratique démocratique. Elle procède à des audits réguliers et à des audits sociaux depuis le tout début. 

RDN Nepal travaille sur les droits de l'homme et la justice sociale pour mettre fin à l'impunité et aux privations grâce à un développement basé sur les droits de l'homme.  Son objectif est d'influencer le niveau de prise de décision afin de garantir les droits politiques, économiques, sociaux et culturels en éliminant l'intouchabilité et la discrimination fondées sur la caste. 

Le COCAP est un réseau né d'un symposium national sur la transformation des conflits et la construction de la paix en juin 2001. Depuis sa création, le COCAP organise régulièrement des campagnes et des conférences sur les droits de l'homme, la construction de la paix et la rédaction de la constitution, ainsi que la sécurité et la protection sociales aux niveaux national, régional et local. Son objectif est de renforcer les capacités des volontaires et des organisations membres de la COCAP en leur offrant diverses possibilités de formation et de mise en réseau, et de contribuer à la promotion d'une culture du volontariat au sein des organisations de la société civile népalaise. 

Son deuxième objectif est de renforcer les réseaux de défense de la paix en créant une plateforme pour les professionnels, les jeunes, les femmes et les groupes marginalisés afin d'apprendre, de partager et d'initier un travail commun de construction de la paix. 

Jagriti Child and Youth Concern Nepal (Jcycn) a été créé par les diplômés du Jagriti Child Club (JCC).  JCYCN est devenu le premier club d'enfants enregistré, établi de manière indépendante, qui s'est battu légalement sans citoyenneté pour l'enregistrement des clubs d'enfants.  À l'heure actuelle, plus de 23 000 clubs d'enfants travaillent activement au Népal et sont enregistrés auprès des gouvernements locaux.  

Le JCYCN est activement engagé dans la défense et la campagne des droits des enfants et des jeunes depuis sa création. Elle a défendu des questions concernant les jeunes telles que la gouvernance locale respectueuse des enfants, des jeunes et de la nutrition, l'autonomisation des filles, l'emploi des jeunes, la participation, la promotion de la justice et une migration plus sûre. Elle a acquis une expérience considérable au niveau local et national en matière de défense des politiques, ainsi qu'au niveau international en matière de solidarité.   

L'une des principales organisations féminines du Népal, elle travaille sur les droits des enfants et des femmes depuis sa création. Il s'agit d'une organisation de défense des droits de l'enfant à but non lucratif, apolitique et orientée vers l'action, créée en 1990 et enregistrée à Sindhupalchowk. Elle se fonde sur les droits des femmes et des filles défavorisées qui ont été laissées pour compte en raison des normes et des valeurs patriarcales de la société. L'organisation a fait de la traite des femmes et des jeunes filles, y compris des questions relatives aux droits des femmes, sa principale préoccupation. Elle se concentre sur la recherche, le plaidoyer, le débat, l'autonomisation des femmes et les programmes de sensibilisation pour changer l'état d'esprit patriarcal. 

Il s'agit d'une organisation sociale communautaire locale dont le conseil d'administration ne comprend que des femmes.  

Le NTUC est un réseau d'environ 27 syndicats, engagés dans les secteurs de l'emploi formel et informel, dans les sphères privée et publique - de l'éducation à la construction, du textile à la restauration, en passant par les transports, l'artisanat informel et les métiers artisanaux. Le NTUC se concentre sur le travail des enfants, la promotion de la santé et du bien-être au travail, la formation des travailleurs à leurs droits, la promotion de l'égalité des sexes et la mise en place d'un système de sécurité sociale universel.

En tant qu'organisation faîtière regroupant les trois plus grands syndicats du Népal (GEFONT, NTUC et ANTUF), la CSI-NAC est le moteur d'une coopération efficace entre la plupart des syndicats népalais au sein du Centre conjoint de coordination syndicale (JTUCC). Ils y adoptent des positions communes et des stratégies de plaidoyer couvrant diverses questions, notamment la protection sociale, la santé et la sécurité au travail, ainsi que les normes du travail.

La SPCSN est une plateforme de 16 organisations locales de la société civile représentant, entre autres, les personnes âgées, les personnes handicapées, les personnes vivant avec le VIH/SIDA et les mouvements de défense des droits de l'enfant. Le SPCSN se concentre principalement sur les régimes de sécurité sociale non contributifs, tels que les allocations familiales, les pensions, les allocations d'invalidité, l'accès à la santé, ainsi que la protection sociale adaptative en cas de chocs.

La JOC est un mouvement présent dans le monde entier qui organise les jeunes travailleurs, les étudiants, les agriculteurs, les travailleurs informels, les chômeurs, les télétravailleurs et les travailleurs sociaux, etc. tous ceux qui sont confrontés à l'exploitation et à la précarité dans leurs conditions de travail et de vie.

Dans la région Asie-Pacifique (ASPAC), la JOC-ASPAC s'est répandue dans de nombreux pays où elle a formé de nombreux travailleurs et dirigeants. Aujourd'hui, il s'agit d'un mouvement de jeunes travailleurs présent dans 10 pays de la région Asie-Pacifique, dirigé et organisé par les jeunes travailleurs eux-mêmes.

Ils mobilisent les jeunes travailleurs dans les secteurs les plus précaires et marginalisés, tels que les chauffeurs de taxi, les jeunes travailleuses, les ouvriers d'usine, les travailleurs agricoles, les ouvriers de la briqueterie, les travailleurs occasionnels, etc. La JOCI-ASPAC veut mettre fin au travail précaire en réglementant le travail de tous les travailleurs (précaires) afin de les protéger contre les licenciements abusifs, l'externalisation forcée et l'inégalité des conditions entre les travailleurs permanents et les travailleurs temporaires ou précaires.

Gonoshasthaya Kendra (GK) ou "Centre de santé populaire" est une ONG dont la devise est "Grame Cholo-Gram Goro", ce qui signifie "Allons au village et construisons le village", fondée par des médecins progressistes en 1972. Sa vision est la suivante : "Le destin du pays dépend du destin des pauvres" et "Le développement du pays dépend du développement de la femme".

Au fil des décennies, GK a apporté des soins de santé à plus d'un million de personnes - pour la plupart pauvres et rurales - en créant 43 centres de santé et sept hôpitaux. GK forme et emploie également des personnes locales en tant qu'agents de santé, dont le nombre s'élève aujourd'hui à plus de 2 200. Le travail de GK a permis de réduire considérablement la mortalité infantile. GK organise également des activités génératrices de revenus pour aider les gens à se procurer un revenu. GK a introduit l'assurance maladie au Bangladesh et participe activement à l'élaboration des politiques.
 

Cette plateforme a été créée en octobre 2017 par des syndicats et des ONG qui œuvrent pour la protection sociale de la communauté ouvrière. Outre l'amélioration de la structure du reseau, la formation efficace de coalitions entre les membres et le renforcement de la communication numérique, BSPAN renforce le plaidoyer pour la protection sociale universelle en établissant des liens avec les plateformes locales et nationales et en faisant pression pour la ratification de la Convention 102 de l'OIT. La fondation OSHE est le secrétariat de BSPAN.

NGWF s'efforce d'obtenir des salaires équitables, des conditions de travail meilleures et plus sûres dans le secteur de l'habillement, en mettant l'accent sur l'égalité de droits entre hommes et femmes. C'est le plus grand syndicat national de travailleur·euses de l'habillement au Bangladesh et il rassemble actuellement environ 60 000 membres dans plus de 1 200 comités d'usine. NGWF est actif à travers 10 antennes dans 8 régions. Impliquer NGWF dans la Clean Clothes Campaign permet de sensibiliser les consommateur·rices et les fabricants de vêtements au Bangladesh pour obtenir des conditions de travail sûres et des salaires décents.

CLC est une confédération syndicale indépendante au Cambodge, qui représente 113 000 travailleur·euses dans différents secteurs de l'économie cambodgienne : industrie textile et de l'habillement, tourisme, construction, alimentation et services, transports, industries manufacturières, services financiers, agriculture, économie informelle. CLC compte 8 fédérations affiliées, actives dans tout le pays. Sa fédération de l'habillement, C.CAWDU, soutient plus de 80 000 travailleur·euses de l'industrie du textile et de l'habillement, dont la majorité sont des femmes. Elle défend leurs intérêts dans le but d'améliorer leurs conditions de travail, en organisant des campagnes de formation et de sensibilisation et en menant un travail de plaidoyer auprès des autorités et des négociations avec leurs employeurs, avec le soutien de la Clean Clothes Campaign.

CFTUI est un syndicat national totalement indépendant politiquement, ce qui est assez rare en Inde. Elle est présente dans 20 États avec 1,3 million de membres dans dix secteurs : services publics, transports, éducation, construction, commerce, alimentation et agriculture, pêche, textile et habillement. CFTUI dispose également d'une branche spécifique pour les femmes travailleuses. Elle defend en particulier les travailleur·euses vulnérables, principalement issu·es de l'économie informelle, ainsi que les travailleur·euses migrant·es.

La mission de CWM est de lutter pour le respect de la dignité humaine, pour la justice, et de faire en sorte que les hommes et les femmes jouent un rôle central dans le développement. CWM compte environ 18 000 membres, dont 40 % de femmes, répartis entre 40 groupes affiliés. Ses principales activités sont la formation et les activités avec les travailleur·euses vulnérables et les travailleur·euses non organisé·es du secteur informel. CWM se concentre sur les migrant·es, les femmes et les jeunes travailleur·euses. CWM organise régulièrement des campagnes de sensibilisation et des événements, souvent en collaboration avec d'autres ONG et syndicats.

NDWM a été fondé en 1985 au Tamil Nadu par Sœur Jeanne Devos, en vue de soutenir et renforcer les nombreuses travailleuses domestiques exploitées en Inde. Son siège est situé à Mumbai, mais elle est présente dans 17 États et touche plus de 200 000 travailleur·euses domestiques. Les activités prioritaires comprennent la sensibilisation, les campagnes et le plaidoyer pour améliorer la législation et les normes du travail pour les travailleur·euses domestiques. NDWM s’adresse aussi aux travailleur·euses migrant·es et leur propose notamment des programmes de formation et de réadaptation avant le départ.

AREDS oeuvre en faveur de l’Humanité, au départ de la conviction que plusieurs personnes organisées de manière consciente et collective peuvent donner naissance à un autre monde. AREDS rassemble les gens et construit des mouvements forts à même d’offrir des alternatives économiques, sociales, culturelles et politiques. L’organisation s’adresse en priorité aux femmes, aux dalits, aux jeunes et adolescents. Son action s’étend de l'éducation non formelle, la formation professionnelle et les activités génératrices de revenus, à l'agriculture alternative et écologique durable, en passant par l'éducation à de meilleures pratiques de santé et d'hygiène. Une partie importante de son travail implique également le plaidoyer pour une meilleure protection sociale, aux niveaux local et national.

La NDWF est née des efforts de la NDWM pour organiser les travailleurs domestiques en syndicats dirigés par les travailleurs domestiques eux-mêmes. La NDWF vise à protéger, garantir et promouvoir les droits des travailleurs domestiques en Inde et de ceux qui travaillent à l'étranger par le biais de la solidarité et de la participation. Ses objectifs sont de garantir l'égalité des droits pour les travailleurs domestiques comme pour tous les autres travailleurs, en ce qui concerne les salaires, la sécurité sociale, les conditions de travail, la santé et d'autres avantages, etc. Depuis sa création en 2013, la NDWF s'est activement impliquée dans le plaidoyer en faveur d'une législation nationale pour les travailleurs domestiques et de la ratification par l'Inde de la Convention 189 de l'OIT relative aux travailleurs domestiques. Fin 2016, la NDWF comptait 9 syndicats affiliés enregistrés et 6 non enregistrés, totalisant 16 000 femmes membres dans 14 États.

K-SBSI est une confédération syndicale, fondée en 1992, qui rassemble des travailleurs issus d'une multitude de secteurs. La K-SBSI exige des conditions de travail décentes pour ses membres, met en œuvre des projets socio-économiques dans des zones défavorisées et fournit des revenus alternatifs à ses membres. Elle propose également des formations sur des sujets liés au travail. Avec ses 550 000 membres, la K-SBSI est le plus grand syndicat indépendant d'Indonésie et un acteur essentiel du dialogue social. La K-SBSI négocie avec les employeurs, le gouvernement et d'autres syndicats pour une meilleure protection sociale pour toutes et tous.

GARTEKS est la fédération du secteur de l'habillement et du textile au sein de la K-SBSI. Elle regroupe environ 50 000 travailleur·euses  et vise à améliorer les conditions de travail des ouvriers indonésiens de l'habillement. Dans l'industrie textile, la concurrence est féroce et les multinationales de l'habillement n'hésitent pas à délocaliser leurs centres de production, en Chine ou en Corée par exemple, pour réduire la marge réservée aux salaires et aux conditions de travail. En conséquence, les travailleurs indonésiens sont de plus en plus souvent embauchés sur la base de contrats temporaires afin d'accroître la flexibilité de leur travail. Dans ce contexte, il est difficile d'intervenir : quiconque réclame de meilleures conditions de travail risque d'être licencié et remplacé par quelqu'un d'autre. Les syndicats comme GARTEKS sont donc plus que jamais nécessaires pour soutenir ces travailleur·euses et constituer un contre-pouvoir efficace en cas d'abus.

YCW Philippines  (comme la JOC) est une organisation de jeunesse, qui fait partie du mouvement international de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne, et qui organise des jeunes travailleurs vulnérables dans des conditions de travail et de vie précaires dans différentes régions des Philippines. En réfléchissant et en analysant les situations de vie des jeunes travailleurs et en les sensibilisant aux mécanismes qui conduisent à l'inégalité, à l'exclusion, à la pauvreté et à la discrimination dans la société d'aujourd'hui, la JOC appelle les jeunes à l'action afin qu'ils prennent des responsabilités pour d'autres jeunes vulnérables et qu'ils provoquent un changement social (voir-juger-agir). La JOC Philippines représente actuellement des centaines de jeunes travailleurs de différentes professions (chauffeurs de taxi, ouvriers d'usine, travailleurs de la canne à sucre, mineurs, vendeurs, étudiants). Elle se concentre sur le renforcement de la capacité des jeunes travailleurs à améliorer leurs conditions de travail et leur niveau de vie.

En tant que centre syndical indépendant et démocratique, la KMU promeut un syndicalisme authentique et militant aux Philippines depuis 1980. La confédération est composée de 9 fédérations syndicales dans différents secteurs (industrie, services, travailleurs agricoles) et de deux organisations de masse dans l'économie informelle (travailleurs des transports et pauvres urbains). Elle compte actuellement 115 000 membres et des sections dans les principales régions de Luzon, Visayas et Mindanao. Le KMU, dont le nom signifie "Mouvement des travailleurs du 1er mai", se concentre sur l'organisation des travailleurs dans des conditions de travail précaires, sur la sécurité de l'emploi ainsi que sur la sensibilisation et la campagne pour la restauration d'un système de salaire minimum national et une meilleure protection sociale.

L'AHW est une alliance de syndicats du secteur de la santé aux Philippines, représentant plus de 27 000 travailleurs (médecins, infirmières, autres personnels des établissements de santé) dans des hôpitaux et des centres médicaux principalement publics, mais aussi privés, dans l'ensemble du pays. Depuis 1984, l'AHW est en première ligne dans la lutte pour de meilleurs droits du travail, des salaires décents et l'accès à la protection sociale pour les travailleurs de la santé aux Philippines. L'organisation promeut également le droit de chaque Philippin - en particulier les pauvres et les défavorisés - à des soins de santé de qualité. Ses actions se concentrent sur la syndicalisation et l'organisation du personnel des établissements médicaux, la sensibilisation du public et des travailleurs de la santé à la nécessité d'offrir des soins de santé de qualité à tous les Philippins, la négociation de meilleures conditions de travail avec la direction des hôpitaux, l'opposition à l'utilisation de contrats de travail à court terme pour les travailleurs de la santé, et la lutte contre la privatisation des hôpitaux publics.

La Confédération syndicale internationale (CSI) est la voix mondiale des travailleurs du monde entier. Elle compte près de 340 affiliés nationaux, représentant près de 200 millions de travailleurs dans plus de 160 pays et territoires. La mission première de la CSI est la promotion et la défense des droits et des intérêts des travailleurs, par le biais de la coopération internationale entre les syndicats, de campagnes mondiales et d'actions de plaidoyer au sein des principales institutions mondiales. Elle fait campagne en faveur d'un nouveau contrat social comprenant

une protection sociale universelle
des emplois décents et respectueux du climat, avec une transition juste
des droits pour tous les travailleurs sur des lieux de travail sûrs et sains
un salaire minimum vital
l'égalité des revenus, des sexes et des races
Inclusion au sein des pays et entre eux.

La JOC est un mouvement qui organise les jeunes travailleurs, les étudiants, les agriculteurs, les travailleurs informels, les chômeurs, les télétravailleurs et les travailleurs sociaux, etc. tous ceux qui sont confrontés à l'exploitation et à la précarité dans leurs conditions de travail et de vie.

Nous poursuivons notre mission "d'éducation par l'action" en utilisant notre méthodologie, le SEE-JUDGE-ACT. De cette manière, nous partons de la réalité individuelle et entamons un processus de sensibilisation individuelle et collective qui vise à responsabiliser les jeunes travailleurs et à leur fournir les outils nécessaires pour transformer leurs réalités et nos sociétés.

Le RIPESS est un réseau intercontinental de réseaux engagés dans la promotion de l'économie sociale et solidaire, avec plus de 25 ans de travail continu et 3294 organisations dans 71 pays à travers le monde.
Les réseaux membres du RIPESS en Amérique latine et aux Caraïbes, en Amérique du Nord, en Europe, en Afrique, en Asie et en Océanie rassemblent des réseaux nationaux et sectoriels, assurant ainsi un fort ancrage territorial et populaire. 
Sa portée locale et mondiale lui confère la légitimité nécessaire pour promouvoir l'ESS, favoriser la coopération intercontinentale et influencer les politiques à différents niveaux.
Notre travail est ancré dans les valeurs de solidarité, d'équité, d'attention, d'autodétermination, de soutien mutuel, de coopération, de féminisme et de justice environnementale.